Mortimer y retourne pour téléphoner à Labrousse.
On peut supposer qu'il est descendu par le village et l'épingle à cheveux. il atteint ensuite le Bas-Buc rue Louis Blériot (où Louis l'avait laissé quelque temps auparavant, voir Mortimer arrive à Buc).
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La maison de gauche, qui ressemble à une étable, a
changé de facade. Sur la carte postale ci-dessous, on apprend
que c'était une "écurie et restaurant" dans les
années 20. La maison qui lui fait face, en pierre
meulière était d'ailleurs à l'époque (la carte fut
postée en 1926) une "Maréchalerie
Vétérinaire". Le forgeron exerçait encore peu après
la seconde guerre mondiale.
La maison verte avec les deux mansardes dessinée et photographiée
par Jacobs vers 1957, devait être la poste, comme c'était le cas
dans les années 20. Jacobs a poussé l'exactitude jusqu'à
dessiner l'aile arrière de la voiture et la fourgonette à l'identique,
sans oublier les mansardes (disparues depuis), la boîte aux lettres et
le panneau "postes" ...mais il a oublié une porte! Celle-ci existe encore
pourtant.
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A gauche on voit le café où Mortimer a
téléphoné. Il existe encore et s'appelle "le
tiparillo". Les maisons ont peu changé. L'immeuble à 4
mansardes au fond sur la photo actuelle date des années 90. La
rue qui part sur la droite est l'avenue Huguier.
D'autres cartes postales témoignent de l'évolution de
ce carrefour.
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Ce carrefour est protégé au titre de la loi paysage (PLU 2002 - site urbain).
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